Alors qu’il travaille dans l’entreprise paternelle de librairie-édition, de son père, il pratique le dessin et la peinture, souvent sur les bords de la Marne. Remarqué par le paysagiste Dardoize, il poursuit son apprentissage dans son atelier, puis dans celui du peintre Hanoteau.
Installé à Montigny-sur-Loing, où il travaille quelque temps dans l’atelier du céramiste Eugène Schopin, il peint des paysages de la forêt de Fontainebleau, de bords de rivière ou d’étang, et exécute aussi des fusains et des céramiques qu’il expose au Salon à partir de 1876. Sa peinture, souvent spontanée, est influencée par la tradition des peintres de l’École de Barbizon.
